


Depuis la fin de la Via Nazionale, la Vatican est déja dans l'obscurité. Quelquechose de merveilleux : ces bancs d'oiseaux, comme des bancs de poissons, tournaient et viraient dans le ciel, scintillants. Des monstres de plumes marchant sur la ville, et plongeant dans ses entrailles, avant d'en resurgir comme des feux d'artifice et de disparaître en une fraction de seconde. J'avais déja vu ça à Pau, depuis les fenêtres de l'internat, ces étourneaux qui se réunissent par miliers avant de se poser sur les branches des platanes, au bord du gave. Italo Calvino qui, habitant à Rome a déja pu observer cette danse, le décrit mieux que moi, dans "Palomar".
J'ai passé mon dimanche à la recherche de lettres
Si vous venez à Rome, il est n'est pas possible d'en repartir sans avoir visité ce musé à l'air libre. C'est un concentré d'humour noir.
Piazza del Popolo, presque entre chien et loup.
Et c'est tout...
ciao
yvan
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire